« Voyez la plante,
sa forme exprime les souvenirs vivants de toute l'évolution. »
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La fracture de Pierre
Mon conjoint, Pierre, s’est fracturé l’épaule droite au niveau de la tête humérale, le 4 octobre 2014. J’avais entrepris le cours d’aromathérapie scientifique médicale depuis seulement 4 semaines. Beau défi !
Arrivé à l’hôpital de Verdun, il a immédiatement reçu une piqûre de morphine. Il en a repris, en capsule, le soir même, et ce fût les deux seules fois en plusieurs mois de convalescence :¬)
Le lendemain, j’allais chez Noblessence me procurer des huiles essentielles,
anti-inflammatoires, antispasmodiques et antalgiques. Me voilà équipée pour le soutenir dans sa convalescence.
Au départ, j’ai surtout travaillé avec :
Eucalyptus citriodora ❖ Eucalyptus citronné (anti-inflammatoire)
Gautéria procumbens ❖ Gaultérie (analgésique)
Mentha x piperita ❖ Menthe Poivrée (analgésique)
Ocimum basilicum ❖ Basilic (antispasmodique)
Je n’ai pas fait de formule, j’y suis allée selon les besoins.
Très important : j’ai traité également ses surrénales avec le Pinus sylvestris ❖ pin sylvestre qui agit ici comme une cortisone-like et un anti-inflammatoire systémique :: 3 gouttes de chaque côté :: 2X jour.
Habituellement, le protocole pour un traitement aromatique est de 21 jours, suivi d’un arrêt de 7 jours. Mais comme nous étions ici dans un cas aigu, j’ai continué ce traitement sur plusieurs semaines.
Au printemps suivant, avec de la physiothérapie, de la massothérapie et les HE pour le soutenir, Pierre reprenait du mieux. Il développe cependant une capsulite. On lui prescrit une infiltration de cortisone et il s’y rend une première fois. Avec l’arrivé de la belle saison, il recommence ses activités sans se rendre compte qu’il pousse un peu trop son bras, car la cortisone agit aussi sur les récepteurs de la douleur. S’en suit un nouvel épisode d’élancements.
Un soir où la douleur est particulièrement aiguë, il me dit qu’il pense reprendre de la morphine... J’ai sorti le grand jeu, ma belle Cananga odorata ❖ Ylang ylang qui a agi comme un
opium-like. Sous les pieds et directement sur l’épaule. Elle a fait son effet. Fiou !
Un an après son accident, notre super massothérapeute en shiatsu, Julie Savoie, n’en revenait pas de sa guérison rapide :¬) Il est vrai que Pierre est une personne plutôt zen, mais je demeure persuadée que les huiles essentielles lui ont évité la prise de médicaments et finalement, d’autres injections de cortisone.
J’ai également utilisé sur moi, diverses combinaisons d’huiles essentielles pour divers maux. Le corps bougeant et réagissant en vieillissant, les HE sont un support incontournable pour aider les grands et petits malaises ostéomusculaires (musculo-squeletique).
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